✖ forever trusting who we are ✖ MILA K. ♡

LAYLA YAWORSKY

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Nom et prénom(s) : Layla Yaworsky
Date et lieu de naissance : 23 décembre 1984 ( 27 ans )
Groupe : Chasseuse
Lieu d'habitation : Mystic Falls
Statut civil : divorcée
Orientation sexuelle : bisexuelle
Caractère : jalouse • compréhensible • susceptible • méfiante • marrante • paranoïaque • franche • têtue • excentrique • pantouflarde • insolente • provocatrice • sociale • imprévisible • tordue • maladroite • indécise

Deux jours avant Noël, Layla vit le jour. Et elle ne fut pas un cadeau pour sa mère qui ne l’avait pas désirée. En même temps, rare sont les adolescentes qui souhaitent avoir un gosse à 17 ans. Oui, sa mère avait cet âge quand elle l’eut. Le père ? Comme tant d’autre, il a fui ses responsabilités, Layla ne l’a donc jamais vu, et franchement elle s’en fiche un peu. D’ailleurs, elle n’a pas tellement de souvenir de sa mère, qui l’a abandonné à ses parents très tôt avant de partir de chez elle. Elle fut donc élevée par ses grands parents. Et elle ne peut se plaindre de son enfance, à part la partit abandon par ses parents. Ses grands parents étaient juste adorables. Vous savez ce genre de personne que l’on ne peut qu’aimer, attachantes et discrètes. Toujours le sourire aux lèvres, sans cesse le mot, le geste réconfortant. Des anges. Ce que n’était pas Layla étant petite. En effet, dès l’âge de 4 ans, la jeune fille était une vraie peste. Capricieuse, elle voulait tout avoir rapidement, elle ne cessait de répondre, ou de répéter des insultes qu’elle avait entendu à la télé’, sans savoir ce qu’elles signifiaient. Aujourd’hui, quand elle y repense, elle se fit qu’elle avait été bien dure avec ses grands parents, surtout avec son grand père, à qui elle adorait plus que tout tirer les lobes d’oreilles. A l’école, elle était toute aussi manipulatrice, et utilisant ses amis pour se distraire en les défiant de faire telle ou telle connerie. Et surtout, elle mettait les gens à bout facilement, multipliant ainsi les punitions. Je sais, ça lui fait vraiment beaucoup de défauts. Mais Layla pouvait aussi se montrer calme, et très câline. En effet, parfois sans vous y attendre, elle venait vers vous sans bruit et vous prenez dans ses bras en pleurant. Elle a toujours était hypersensible, ayant souvent des périodes de blues, et de temps en temps il lui arrivait de faire des crises de larmes incontrôlables. Elle avait peut être tout pour être heureuse, elle n’arrivait pas à l’être.
C’est alors à ses 6 ans que sa mère revint. Non, pas par culpabilité de l’avoir laissé, mais pour offrir une nouvelle tâche à ses parents : une nouvelle petite fille. Aponi, la petite sœur de Layla donc, même si elles n’avaient pas le même père. Sa mère revint donc, s’excusant mille fois d’être partit. Mais une semaine après, en pleine nuit, elle redisparut, en laissant Aponi à son tour. Mes grands parents avaient de nouveau une petite fille sous les bras, et donc Layla fut moins leur priorité, ce qui l’irrita quelque peu. Elle devint alors jalouse de sa petite sœur. Mais cela ne dura pas longtemps, avant qu’elle ne se rende compte du bonheur de ne plus être seule. Sa petite sœur avait une véritable bouille d’ange. Elle découvrit alors les responsabilités d’une grande sœur, et changea radicalement dès ses 11 ans. Elle n’était plus la petite peste d’avant qui enquiquinait ses grands parents, mais une jeune fille en train de vite murir, et qui ne cessait d’aider ses grands parents, et surtout de veiller sur sa petite sœur. Elle adorait le contact de sa petite main dans la sienne, son sourire levant ses grosses joues d’enfant, son rire communicatif… Aponi, c’était sa vie, ce qui lui permettait de retrouver le sourire dans les moments de crise. Oui, c’était.
Les années passèrent, rien à signaler. La vie était comme elle était, avec ses bas et ses hauts, ses journées comme les autres, avec ses joies et ses malheurs. La routine quoi. Et vinrent ses vingt ans. C’était le jour des 14 ans de sa sœur, elle décida alors de l’amener au restaurant, juste eux deux. La soirée était superbe, elles avaient rit sur des choses que seules deux sœurs peuvent comprendre. Minuit passée, Layla décida qu’il était temps de rentrer. Elle prit alors la route, juste des petits coins de campagne. Mais malheureusement, ce camion elle ne le vit pas arriver. Il n’avait apparemment pas vu le panneau de priorité, Layla elle ne l’avait pas vu arriver par la droite. A toute vitesse, il fonça alors dans l’arrière de la voiture, où se trouvait Aponi. Layla réussit à défaire sa ceinture, le visage rempli de sang, et tenta de défaire celle de sa sœur de l’arrière. Elle paraissait… dormir. La, les pompiers arrivèrent, et ils sortirent Layla de la voiture retournée. Elle se débattait, ne voulait pas laisser sa petite sœur. Ils tentèrent alors d’ouvrir l’arrière, mais il était trop tard. Ils s’éloignèrent alors rapidement, et la voiture explosa sous le regard de Layla, hurlant le nom de sa sœur perdue. Elle s’écroula alors, et ce fut deux jours après qu’elle se réveilla à l’hôpital, ses grands parents à son chevet. « Je suis désolée. », furent les seuls mots qu’elle réussit à sortir avant de faire une crise de larme.
Les mois passèrent, et il fallait faire avec. C’est difficile certes. Ce qui insupportait le plus Layla, c’était de voir que malgré la mort de sa petite sœur, le monde continuait sa vie normalement. Alors que pour elle, la vie s’était arrêtée. Elle n’osait même plus regarder en face ses grands parents, et regrettait plus que tout que ce ne soit pas elle qui mourut ce soir là. Des centaines de fois cette scène de la voiture explosant revenait, dans ses rêves ou en flashs en pleine journée. Elle ne supportait plus tout cela. Elle décida de fuir, à son tour. Dire adieu à ses grands parents, ceux qui l’avaient aimé et élevé fut déchirant, mais il le fallait, elle ne pouvait rester dans cet endroit qui ne cessait de lui rappeler Aponi. C’est donc à ses 22 ans qu’elle quitta le lieu où elle avait grandit. Elle partit loin, très loin. Elle ne sait plus le nom de la ville, et elle n’en a que faire, tout ce qu’elle souhaitait était de partir. A présent, elle était seule. Entièrement seule. Layla détestait plus que tout la solitude, mais elle devait faire avec. Travailleuse à mi-temps en tant que serveuse, elle passait le reste de ses journées enfermée dans son appartement minuscule. Bref, un vie que personne ne lui enviait. Les jours se ressemblaient, tous plus lents les uns que les autres, l’ennuie s’installant. Layla passa même au suicide, pour vous dire. Mais jamais elle ne fit cette bêtise.
Je ne peux pas dire si c’est grâce, ou à cause de cela, qu’elle a pu le rencontrer. Jehan. C’était en début de soirée, Layla venait de commencer son service au restaurant, quand il fit son entrée : il était difficile de ne pas arrêter son regard sur lui, grand beau et blond, les 3 critères parfait. Mais en plus de cela, il dégageait une certaine aura, un magnétisme. Du moins, c’était le cas pour la jeune femme qui se sentit directement et absolument attiré par cet inconnu. Pas très timide, elle décida d’aller prendre de suite sa commande, se recoiffant au passage et lui adressant son plus charment sourire. Le sien était à croquer, et sa voix, quoique légèrement effrayante par sa lenteur, était juste s.e.x.y. Bref, Layla avait craqué et elle ne voulait pas laisser partir sa proie. C’est alors elle qui s’occupa de son service le long de la soirée, mais elle n’eut aucun recours à ses avances de la part de ce Jehan. Mais l’espoir revint lorsqu’il partit en laissant son numéro de téléphone. Vous l’aurez deviné, le soir même en rentrant de son service, Layla composa directement ce numéro, en espérant que ce ne soit pas un faux. Non, c’était bien le sien, elle le sut en entendant sa voix à l’autre bout du fil. Ils se fixèrent alors un rendez-vous, et tout alla très vite. Le premier soir le baisé, le seizième au lit, et onze mois après le mariage. Oui, le mariage. Quand je vous avez dit qu’elle avez craqué ! Ce ne fut pas un mariage comme on nous le rabâche dans les films, mais une simple petite cérémonie avec pas grand monde mise à par leurs amis, et les grands parents de Layla. Par contre, il n’y avait personne de la famille de Jehan. Il lui affirma alors qu’ils habitaient tous à l’autre bout du monde et qu’ils ne souhaitaient pas se déplacer. Layla le crut, mais ce soir là, elle comprit tout.
Encore un soir important dans la vie de la jeune femme. Il était 23h passées, et pas de nouvelle de son mari qui était partit fumer. Layla attrapa alors son manteau, et sortit le chercher. Et malheureusement elle le trouva : derrière l’immeuble en train de vider un homme qui aurait dut rester chez lui ce soir là. Layla fit paralysé devant cette horreur. Le visage de Jehan était complètement diffèrent, ses yeux effrayants. Elle ne poussa aucun cris, ne pleura pas, ne bougea pas. Elle se contenta de le fixer, tandis qu’il lâcha lentement l’homme qu’il avait… bu ? Pour reprendre son visage normal et s’excuser mille fois à Layla. Elle ne réagissait toujours pas, le regard totalement vide. Et soudainement elle s’écroula. De nouveau.
Lorsqu’elle se réveilla, Jehan était juste à côté d’elle, paniqué. En le voyant, enfin elle hurla, se rappelant de ce qu’elle avait vu de lui. Il tenta alors de la calmer en lui expliquant tout de A à Z. Un vampire, il était un vampire. Et quand comptait-il le lui dire ? Il pensait vraiment le cacher pour toujours, pendant que lui serait resté jeune et elle aurait vieillit dans les 30 années qui auraient suivies ? Elle était juste folle de rage. Assez pour lui hurler dessus et le taper. Ne jamais cacher ce genre de chose à Layla. Pourquoi ne pouvait-elle pas avoir une vie normale, rien que quelques années ? Non, là il fallait qu’elle ai un mari vampire ! Elle fut alors au courant pour la bague qui lui permettait d’aller au soleil, la verveine et patati et patata. Elle tenta de lui pardonner, mais c’était trop pour elle. Elle l’aimait, oui elle l’aimait plus que tout. Mais elle ne pouvait vivre ce tel fardeau. Elle n’avait pas fuit sa vie d’avant pour en retrouver une encore plus abominable.
Bref, le divorce commença, à contrecoeur pour les deux. Jehan lui en veux toujours, surement, d’avoir choisi de partir plutôt que de rester avec lui malgré sa nature. Mais Layla avait voulu se la jouer égoïste. Elle voulait une vie normale. Juste ça. Jehan n’était pas du même avis. A cette époque, Layla n’était pas encore sous verveine. Si elle avait su… Le jeune vampire (jeune de 8 centaines d’années) réagit avec haine, mais aussi par amour. Elle avait décida de le fuir parce qu’il était vampire ? Et bien à présent elle chasserait les vampires parce qu’ils seront ce qu’ils sont : des monstres. Il l’hypnotisa alors. « Ta petite sœur, Aponi, a été tué par des vampires, pas par un accident de voiture. Ce sont les vampires qui t’ont retiré ta petite sœur, ce sont eux les monstres. Chasse les, tue les un après un, n’ai aucune pitié pour eux. Je t’aime, Layla, je reviendrais un jour te voir. »

UN BOUT DE MOI ................

Cette partie là est faite plutôt pour s'amuser et sous forme de question rigolote et rapide. Alors amuse toi bien !

Quel est la chose la plus stupide que tu es déjà faite ?
mettre fait tatouer le nom de mon ex-mari dans le bas dos

A quel âge as tu embrassé pour la première fois ?
19 ans. oui c'est tard, mais chut !

Quel est le pays que tu aimerais le plus visité ?
australie ! ♥

Et c'est quoi t'as phrase favorite, ce que tu dis le plus souvent ?
« n'importe quoi ! »

As tu un objet fétiche, genre porte bonheur ? Ou malheur, ça marche dans les deux sens !
la poupée faite maison par ma petite soeur

Ton endroit préféré à Mystic Falls, j'ai le droit de savoir lequel c'est ?
la plage, le seul endroit où je ne suis pas sans cesse sur mes gardes

Si tu devais choisir un parfum pour une soirée inoubliable, lequel porterais tu ?
amor amor de cacharel ♥

Derrière l'écran ................

PSEUDO : low
AGE : seize ans
AVATAR PRIS : mila kunis
COMMENT AS-TU ATTERRI ICI : annuaire de forum ♥
CE QUE TU PENSES DU FORUM : magnifique, le design franchement j'ai craqué !
FICHE : [XX] Terminé [] En cours
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